Canada
May 7, 2010
The Canadian Grain Commission is poised to meet new challenges in grain safety assurance as it brings in a new manager and new equipment to the grain safety assurance laboratory.
“Assuring customers that Canadian grain is safe for people and animals is essential in keeping markets open for producers,” says Peter Burnett, the director of the Canadian Grain Commission’s Grain Research Laboratory. “We have 40 years of research and cargo monitoring to support this goal.”
Sheryl Tittlemier (photo), the new trace organic analysis program manager, comes to the Canadian Grain Commission from Health Canada, where she researched emerging food safety issues. Tittlemier predicts that as general consumer interest about grain safety increases and tolerances tighten, the Canadian Grain Commission will be asked to provide more assurances to customers of Canadian grain.
To meet this increased demand for assurances, the Canadian Grain Commission has added new equipment sensitive enough to test for compounds at extremely low levels. As well, the laboratory team is able to analyze grain samples more quickly, providing customers with the level of service they expect, while giving the team time for research and development.
The grain safety assurance laboratory develops all of its own testing methods. It is the only laboratory in the world that tests for such a high number of compounds in so many different types of grain. To make sure that the Canadian Grain Commission can continue meeting customer requests, the team reviews methods continuously and develops new ones if needed.
While the program’s success stems from the entire team’s efforts, one researcher in particular has influenced its development: Tom Nowicki (photo) , the former program manager of grain safety assurance, who has just retired after 41 years of service.
In the 1960s, when Nowicki joined the Pesticide Residue Unit (as it was then called), customers were concerned about pesticide residues in Canadian grain. Since then, their focus has widened to also include mycotoxins, heavy metals, radionuclides and microbiological contaminants. Nowicki recalls using 2 methods to test for 15 compounds when he began. Today, the team uses 40 methods to test over 200 compounds.
Safety assurance involves monitoring grain shipments at export. During monitoring, samples are taken from export cargoes of grain and analyzed by researchers. Years of data have been collected through cargo monitoring. A statement of assurance by the Canadian Grain Commission is based on volumes of data and is accepted and trusted by customers.
The Canadian Grain Commission is a federal government agency. It is the regulator of Canada’s grain handling industry and the official certifier of Canadian grain. The Grain Research Laboratory of the Canadian Grain Commission provides scientific and technical support to Canada’s grain quality assurance system through testing, monitoring, research and development.
La Commission canadienne des grains est prête à aborder les nouvelles questions sur la salubrité des grains pour les producteurs canadiens
La Commission canadienne des grains est en mesure de relever de nouveaux défis dans l’assurance de la salubrité des grains car elle accueille un nouveau gestionnaire au laboratoire d’assurance de la salubrité des grains et a acheté du nouvel équipement pour y arriver.
« Il est essentiel de veiller à ce que le grain canadien soit salubre pour les humains et les animaux afin d’assurer l’accessibilité aux marchés pour les producteurs », a dit le directeur du Laboratoire de recherches sur les grains de la Commission canadienne des grains M. Peter Burnett. « Nous avons mené des recherches et fait la surveillance des cargaisons pendant 40 ans à l’appui de cet objectif. »
Sheryl Tittlemier, la nouvelle gestionnaire du programme d’analyse des substances à l’état de trace nous arrive de Santé Canada où elle a mené des recherches sur les questions d’actualité relatives à la salubrité des aliments. Mme Tittlemier prévoit que la Commission canadienne des grains aura à donner plus d’assurance aux clients de grains canadiens à mesure que l’intérêt général des consommateurs sur la salubrité des grains augmente et que les tolérances se resserrent.
Pour satisfaire à cette demande accrue d’assurances, la Commission canadienne des grains a acheté du nouvel équipement assez sensible pour analyser les composés à des niveaux extrêmement bas. De plus, l’équipe du laboratoire est en mesure d’analyser les échantillons de grains plus rapidement, offrant donc aux clients le niveau de service auquel ils s’attendent tout en accordant à l’équipe le temps nécessaire aux recherches et au développement.
Le laboratoire d’assurance de la salubrité des grains met au point toutes ses propres méthodes d’analyse. Il s’agit du seul laboratoire au monde qui effectue des analyses pour un nombre aussi élevé de composés dans un si grand nombre de types différents de grains. Pour veiller à ce que la Commission canadienne des grains puisse continuer à répondre aux demandes des clients, l’équipe examine continuellement les méthodes et en développe des nouvelles au besoin.
Bien que le succès du programme émane des efforts déployés par toute l’équipe, un chercheur en particulier a influencé son épanouissement. Il s’agit de Tom Nowicki, l’ancien gestionnaire du programme de l’assurance de la salubrité des grains, qui a récemment pris sa retraite après 41 années de service.
Durant les années 60, au moment où M. Nowicki s’est joint à l’Unité de résidus de pesticides, comme on l’appelait à l’époque, les clients se préoccupaient des résidus de pesticides dans le grain canadien. Depuis ce temps-là, l’unité a élargi son orientation pour inclure également les mycotoxines, les métaux lourds, les radionucléides et les contaminants microbiologiques. M. Nowicki se souvient d’avoir utilisé deux méthodes pour analyser 15 composés chimiques au début de sa carrière. De nos jours, l’équipe a recours à 40 méthodes pour analyser plus de 200 composés chimiques.
L’assurance de la salubrité comprend la surveillance des cargaisons de grain à l’exportation. Au cours de cette surveillance, les échantillons sont prélevés des cargaisons de grains destinées à l’exportation et analysés par les chercheurs. Grâce à la surveillance des cargaisons, nous avons en main des données recueillies durant un grand nombre d’années. L’énoncé d’assurance émis par la Commission canadienne des grains est basé sur des volumes de données et il est accepté par les clients qui s’y fient.
La Commission canadienne des grains est un organisme du gouvernement fédéral. Elle réglemente l’industrie de manutention des grains au Canada et est l’organisme officiel de certification du grain canadien. Le Laboratoire de recherches sur les grains de la Commission canadienne des grains procure un soutien scientifique et technique au système d’assurance de la qualité du grain canadien au moyen d’analyses, de surveillance et de recherche et développement.