March 22, 2015
Source: monsantoblog.eu
By Donna Farmer, Product Protection & Nutrition Lead
As a toxicologist who has dedicated the better part of my 30-year career to product safety, it feels important to explain what the recent IARC review means – and doesn’t mean.
The International Agency for Research on Cancer (IARC) convened a meeting March 3-10, 2015 to evaluate the potential carcinogenic risks to humans from several pesticides, including glyphosate. Glyphosate is an active ingredient in many popular herbicides, including Monsanto’s Roundup® brand herbicides.
IARC concluded that glyphosate belongs in a 2A category as probably carcinogenic to humans, a category that includes professions such as barbers and fry cooks. It is extremely disconcerting that IARC’s conclusion conflicts with the overwhelming consensus by regulatory bodies and science organisations around the world like the U.S. EPA, which concluded that there is evidence of non-carcinogenicity.
In fact, glyphosate and glyphosate-based herbicides are among the most thoroughly tested and evaluated pesticide products in the world. Their 40-year history of safe use is supported by one of the most extensive worldwide human health, crop residue and environmental databases ever compiled on any pesticide.
IARC, however, did not base its decision on all this evidence. Instead IARC disregarded dozens of scientific studies and relied heavily on papers that created false associations.
IARC drew conclusions based on a limited data review debated during a one-week meeting. This process is in stark contrast to periodic regulatory reviews. For example, the regulators in the United States and Canada began reviews of glyphosate in 2009 and should conclude more than five years later, in 2015.
It’s also important to note that all glyphosate-based herbicides on the market today must meet rigorous standards of approval set by regulatory and health authorities to protect the public, including infants and children. Most recently, the German Federal Institute for Risk Assessment (BfR) released its decision on behalf of the European Union, concluding, after a four-year review, that there is no cause-and-effect link between glyphosate exposure and cancer.
Safeguarding human health and the environment is critical to Monsanto’s business and critical to each of us on a personal level. We are moms, dads, sisters and brothers and as such, we’re caretakers of each other as well as our planet. Consumers can be confident in the safe use of our Roundup® brand herbicides because there are more than three decades of independent scientific evaluations indicating that all approved uses of glyphosate are safe for humans and the environment.
Read what others are saying at http://www.monsanto.com/iarc-roundup/.
Get the facts about the uses and safety of glyphosate at monsanto.com/glyphosate and glyphosate.eu.
Summaries of recent cancer studies reaffirm glyphosate does not cause cancer in humans or animals.
* This blog post was originally written for our U.S. blog, Beyond the Rows.
Qu’est-ce que signifie la classification 2A du glyphosate réalisée par le CIRC/IARC ?
Par Donna Farmer, Product Protection & Nutrition Lead
En tant que toxicologiste qui a dédié une majeure partie de ses 30 années de carrière à la sécurité des produits, il me semble important d’expliquer ce que signifie la revue récente du CIRC – et ce qu’elle ne veut pas dire.
Le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) a convoqué une réunion le 10 mars 2015 pour évaluer les risques cancérigènes potentiels pour les humains de plusieurs pesticides, incluant le glyphosate. Le glyphosate est le principe actif de nombreux herbicides connus, incluant le Roundup de Monsanto.
Le CIRC a conclu que le glyphosate appartient à la catégorie 2A et est probablement cancérogène pour l’homme. La catégorie 2A inclut des activités telles que celles de barbier et de friturier. Il est extrêmement déconcertant que les conclusions du CIRC contredisent l’écrasant consensus obtenu par les organes de réglementation et les organisations scientifiques du monde entier telles que l’U.S EPA, selon laquelle il y a des preuves de non-cancérogénicité.
En fait, le glyphosate et les herbicides à base de glyphosate sont parmi les produits pesticides les plus soigneusement testés et évalués au monde. Leurs 40 ans d’utilisation en toute sécurité sont renforcés par l’une des bases de données sur la santé humaine, les résidus dans les cultures et l’environnement, la plus exhaustive au monde jamais compilée sur un pesticide.
Néanmoins, le CIRC n’a pas fondé sa décision sur l’ensemble des preuves mais a préféré ignorer des dizaines d’études scientifiques et s’appuyer fortement sur des publications qui ont créé de fausses associations.
Le CIRC a tiré des conclusions fondées sur un examen limité des données, débattues durant une réunion d’une semaine. Ce processus contraste fortement avec les examens réglementaires périodiques. Par exemple, les organismes de réglementation aux Etats-Unis et au Canada ont commencé à examiner le glyphosate en 2009 et devraient conclure prochainement en 2015, soit plus de cinq ans après le début des recherches.
Il est aussi important de noter que tous les herbicides à base de glyphosate présents sur le marché doivent répondre à des normes rigoureuses d’autorisation mises en place par les organismes réglementaires et les autorités sanitaires pour protéger le public, y compris les nourrissons et les enfants. Plus récemment, l’Institut fédéral allemand d’évaluation des risques (BfR) a rendu, après 4 ans de recherches, une décision au nom de l’Union Européenne concluant qu’il n’y a pas de lien de cause à effet entre le glyphosate et une exposition aux risques de cancer.
La protection de la santé humaine et de l’environnement est essentielle pour les activités de Monsanto et plus personnellement, pour chacun d’entre nous. Nous sommes des mères, des pères, des frères et sœurs, comme vous nous sommes les gardiens des uns et des autres et de notre planète. Les consommateurs peuvent être confiants dans la sûreté de l’utilisation de notre marque d’herbicide Roundup. En effet, plus de trente ans d’évaluations scientifiques indépendantes indiquent que tous les usages autorisés du glyphosate sont sûrs pour l’homme et l’environnement.
Prenez connaissance de l’avis d’autres experts ici: http://www.monsanto.com/iarc-roundup/.
Pour plus d’informations sur l’utilisation et la sûreté du glyphosate consultez monsanto.com/glyphosate et glyphosate.eu .
Résumés des études récentes sur le cancer qui réaffirment que le glyphosate ne cause pas de cancer chez l’Homme ou les animaux.
* Ce poste de blog a initialement été rédigé pour le blog Beyond the Rows
Lo que significa realmente la clasificación 2A de la IARC para el glifosato
Por Donna Farmer, Líder de seguridad del producto y nutrición
Como toxicóloga que ha dedicado la mayor parte de su carrera de 30 años a la seguridad del producto, siento que es importante explicar lo que la reciente revisión de la IARC significa, y lo que no significa.
La Agencia Internacional para la Investigación del Cáncer (IARC, por sus siglas en inglés) convocó una reunión del 3 al 10 de marzo de 2015, para evaluar los posibles riesgos cancerígenos para las personas de diversos pesticidas, incluido el glifosato. El glifosato es el principio activo de muchos herbicidas conocidos, incluidos los herbicidas de la marca Roundup® de Monsanto.
La IARC concluyó que el glifosato pertenece a la categoría 2A como probablemente cancerígeno para las personas, una categoría que incluye a profesiones tales como peluqueros y cocineros de frituras. Es extremadamente desconcertante que la conclusión de la IARC esté en conflicto con el abrumador consenso de los organismos reguladores y las organizaciones científicas alrededor del mundo, como la EPA de EE.UU., que concluyó que hay pruebas de la no carcinogenicidad.
En efecto, el glifosato y los herbicidas a base de glifosato se encuentran entre los productos pesticidas que han sido probados y evaluados más profundamente en el mundo. Su historial de 40 años de uso seguro está sustentado por una de las bases de datos de salud humana, residuos de cultivos y medio ambiente más amplias que se han recopilado hasta ahora sobre cualquier pesticida.
La IARC, sin embargo, no basó su decisión en todas estas pruebas. Por el contrario, la IARC no tuvo en cuenta las docenas de estudios científicos y confió fuertemente en documentos que crearon asociaciones erróneas.
La IARC sacó conclusiones basándose en un análisis de datos limitado que se debatió durante una reunión de una semana. Este proceso contrasta fuertemente con las revisiones reguladoras periódicas. Por ejemplo, los organismos reguladores de Estados Unidos y Canadá comenzaron revisiones del glifosato en 2009 y deberían concluir más de cinco años después, en 2015.
También es importante tener presente que todos los herbicidas a base de glifosato en el mercado actual deben cumplir con rigurosas normas de aprobación establecidas por organismos reguladores y autoridades sanitarias para proteger al público, particularmente a los lactantes y a los niños. Recientemente, el Instituto Federal de Evaluación de Riesgos de Alemania publicó su decisión en nombre de la Unión Europea, concluyendo, luego de una revisión de cuatro años, que no hay un vínculo de causa y efecto entre la exposición al glifosato y el cáncer.
Proteger la salud humana y el medio ambiente es crucial para la empresa de Monsanto y es crucial para cada uno de nosotros a nivel personal. Somos madres, padres, hermanas y hermanos, y como tales, nos cuidamos unos a otros, así como a nuestro planeta. Los consumidores pueden confiar en la seguridad de nuestros herbicidas de la marca Roundup® porque existen más de tres décadas de evaluaciones científicas independientes que indican que todos los usos aprobados del glifosato son seguros para las personas y para el medio ambiente.
Lea lo que otros están diciendo en http://www.monsanto.com/iarc-roundup/.
Obtenga los hechos sobre la seguridad del glifosato en monsanto.com/glyphosate y glyphosate.eu.
Los resúmenes de estudios recientes sobre cáncer reafirman que el glifosato no causa cáncer en personas ni animales.