Winnipeg, Manitoba, Canada
July 6, 2012
On August 1, 2012, the Canadian Grain Commission is revising barley classification to highlight barley's potential for a diverse range of end uses, including food products.
"Changing how barley is classed is an example of the valuable work done by the Western Standards Committee and demonstrates the flexibility of our system," explains Elwin Hermanson, Chair of the Western Standards Committee and Chief Commissioner of the Canadian Grain Commission. "Committee members saw these changes would benefit Canada's barley producers, industry and consumers of Canadian barley."
At its meeting on April 3, 2012, the Western Standards Committee recommended the following changes:
- Adding a food class
- Removing the hulless class
- Adding hulless and covered barley to primary grade determinant tables for food, malting and general purpose classes
The full grade schedules for each class of barley are included in the Western Standards Committee's April 3, 2012 recommendations.
Currently, barley is classed as malting, hulless or general purpose. After August 1, barley will be classed as food, malting or general purpose, which better describes potential end-uses. Rather than having a hulless class, each class will have hulless and covered varieties.
In the current system, if a variety suited for malting were a hulless variety, it would be classed as hulless barley, not as malting barley, which could lead customers to overlook its potential as malting barley. In the revised system, this variety will be more accurately classed as malting barley.
The new food class demonstrates to customers that Canadian barley has potential for use in a variety of food products. Canadian barley breeders have developed several barley varieties with a focus on maximizing beta-glucan content for food use.
The Western Standards Committee meets twice a year to recommend specifications for grades of grain, and to select and recommend standard and guide samples to the Canadian Grain Commission. Members represent different sectors of the grain industry and include grain processors, exporters and producers.
Changements apportés aux classes d'orge afin de refléter les utilisations possibles
Le 1er août 2012, la Commission canadienne des grains révisera les classes d'orge afin de mettre en lumière la vaste gamme d'utilisations finales possibles de l'orge, notamment les produits alimentaires.
« Les changements apportés aux classes d'orge constituent un exemple du précieux travail accompli par le Comité de normalisation des grains de l'Ouest et témoignent de la souplesse de notre système, explique Elwin Hermanson, président du Comité de normalisation des grains de l'Ouest et commissaire en chef de la Commission canadienne des grains. Les membres du Comité sont d'avis que ces changements seront avantageux pour les producteurs d'orge, l'industrie et les consommateurs d'orge du Canada. »
Dans le cadre de sa réunion du 3 avril 2012, le Comité de normalisation des grains de l'Ouest a recommandé les changements suivants :
- Ajout d'une classe d'orge alimentaire
- Suppression de la classe d'orge à grains nus
- Ajout de l'orge à grains nus et à grains vêtus dans les tableaux des facteurs déterminants des grades primaires de toutes les classes d'orge, soit orge alimentaire, orge brassicole et orge à des fins générales
Les annexes des grades de chaque classe d'orge font partie des recommandations du 3 avril 2012 formulées par le Comité de normalisation des grains de l'Ouest.
À l'heure actuelle, les classes d'orge sont l'orge brassicole, l'orge à grains nus et l'orge à des fins générales. Après le 1er août 2012, l'orge sera classée en fonction de son utilisation finale : alimentation, maltage et fins générales. Plutôt que d'avoir une classe d'orge à grains nus, chaque classe comprendra des variétés d'orge à grains nus et à grains vêtus.
Dans le système de classement actuel, une variété d'orge brassicole à grains nus entrerait dans la classe d'orge à grains nus, et non dans la classe d'orge brassicole, ce qui pourrait amener les acheteurs à ignorer son potentiel brassicole. Dans le système révisé, cette variété sera mieux classée en tant qu'orge brassicole.
La nouvelle classe alimentaire laisse savoir aux acheteurs que l'orge canadienne peut être utilisée pour la fabrication de divers produits alimentaires. Les sélectionneurs canadiens ont développé plusieurs variétés d'orge en tentant de maximiser la teneur en béta-glucane à des fins alimentaires.
Les membres du Comité de normalisation des grains de l'Ouest se réunissent deux fois par année pour formuler des recommandations concernant les caractéristiques des grades des grains et pour sélectionner les échantillons-types et les échantillons de référence et les recommander à la Commission canadienne des grains. Les membres proviennent de divers secteurs de l'industrie céréalière et représentent, notamment, les transformateurs, les exportateurs et les producteurs de grains.